Les battures se sont enfuies, pour le peu qu'il y en a eu cette année.
Mais la turbulence m'a fait sortir de ma torpeur, moi qui osais rêver au printemps, au jardin et au vélo. Je devais, survie s'impose par grands vents remplir la cave a bois et l'ivresse du soleil combiné aux vents présents... Je suis partie franc Ouest de face et au retour de dos !
1 commentaire:
Un billet vraiment bien écrit me laissant imaginer le vent ...
Merci aussi pour votre visite au jardin !
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