Au fil de l'eau, des jours et des saisons. Prendre le temps de savourer la vie a chaque jour offert et y goûter le bonheur.
mercredi 24 février 2010
lundi 15 février 2010
Citation
Il y a deux moyens d'oublier les tracas de la vie :
la musique et les chats.
Albert Schweitzer
la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Toi
Ton silence me tue,
Tes mots me blessent.
Autant ton absence m'a vidée, que ta présence me trouble.
En toi ne je reconnais presque plus rien.
Ton sourire, tes yeux tout est vide
de vie
de sens.
Il ne reste qu'une enveloppe dont je ne sais plus quoi en faire.
Je voudrais tant la secouer afin d'en faire sortir celui que j'ai mis au monde.
Mais la poussière ne se reforme pas.
Elle reste poussière et s'éparpille,
s'envole selon le vent, selon les humeurs.
Le temps ne pourra rien y faire.
La cassure est trop profonde.
Et cette haine
envers moi
que je rescent comme le feu.
Comme le froid mordant du blizzard.
Je te sens et je vie ton malheur.
Il est mien et est mon lot, ma vie, mes nuits, mes insomnies, mon quotidien.
Je voudrais tant pouvoir y remédier.
Mais pour cela tu dois me laisser t'aider.
Mais tu refuse.
Quelque fois tu t'oublie, tu te déplie et m'offre un éclat de rire, un sourire, tes yeux bleux revivent.
Quelques secondes...
Et après ce malheur, ce nuage noir revient les voiler, et la c'est pire.
Ta blessure est mienne.
Ton malheur aussi.
Mais j'ai tant de mal a te retrouver afin de mieux te suivre et pouvoir te soutenir et t'épauler.
Il me faudrait une aide
Tu dois me laisser t'aimer comme avant.
Avant qu'il ne soit trop tard.
Avant que moi aussi, épuisée je ne me replie pour toujours.
Et que je choisisse l'option la plus facile surement.
M'éloigner a tout jamais de ce déchirement et retrouver ceux qui partis sont devenus souvenirs.
Laisse moi juste t'aider a redevenir.
Donne moi une chance.
Tes mots me blessent.
Autant ton absence m'a vidée, que ta présence me trouble.
En toi ne je reconnais presque plus rien.
Ton sourire, tes yeux tout est vide
de vie
de sens.
Il ne reste qu'une enveloppe dont je ne sais plus quoi en faire.
Je voudrais tant la secouer afin d'en faire sortir celui que j'ai mis au monde.
Mais la poussière ne se reforme pas.
Elle reste poussière et s'éparpille,
s'envole selon le vent, selon les humeurs.
Le temps ne pourra rien y faire.
La cassure est trop profonde.
Et cette haine
envers moi
que je rescent comme le feu.
Comme le froid mordant du blizzard.
Je te sens et je vie ton malheur.
Il est mien et est mon lot, ma vie, mes nuits, mes insomnies, mon quotidien.
Je voudrais tant pouvoir y remédier.
Mais pour cela tu dois me laisser t'aider.
Mais tu refuse.
Quelque fois tu t'oublie, tu te déplie et m'offre un éclat de rire, un sourire, tes yeux bleux revivent.
Quelques secondes...
Et après ce malheur, ce nuage noir revient les voiler, et la c'est pire.
Ta blessure est mienne.
Ton malheur aussi.
Mais j'ai tant de mal a te retrouver afin de mieux te suivre et pouvoir te soutenir et t'épauler.
Il me faudrait une aide
Tu dois me laisser t'aimer comme avant.
Avant qu'il ne soit trop tard.
Avant que moi aussi, épuisée je ne me replie pour toujours.
Et que je choisisse l'option la plus facile surement.
M'éloigner a tout jamais de ce déchirement et retrouver ceux qui partis sont devenus souvenirs.
Laisse moi juste t'aider a redevenir.
Donne moi une chance.
lundi 8 février 2010
En attendant l'hiver
La neige s'est fait attendre
Elle apris son temps avant de décorer la nature,
la grande dame blanche et son manteau s'est laissée désirer..
Un jour elle est passée
non annoncée
non prévue.
Elle a laissé sur son passage une épaisse couche blanche
lourde ....
Puis n'est pratiquement point revenue.
Partout ou elle n'a pas l'habitude d'aller, elle est passée.
Mais ici presque rien de sa part.
Même les glaces sur le fleuve ont abdiqué.
Elles partent comme au printemps et ne se reforment pas.
A l'eau vive ou presque.
En attendant l'hiver
je suis allée par dela les petits sentiers.
Sentir le froid, la morsure du vent.
Voulant tant une bonne bordée blanche
afin de me réfugier chez moi, bien au chaud au coin du feu a regarder les fantomes de neige tourbillonner et écouter le vent hurler sa rage.
lundi 1 février 2010
Inscription à :
Articles (Atom)
Dessine moi un jardin.
Les mois passent rapidement et le plaisir de reprendre ma vie en main me pousse a enfiler mes gants de jardinage, retrouver le ryt...

-
De douces mitaines bien chaudes et douces pour combattre les rigueurs de l'hiver... et aussi pour passer les longues soirées d'hiver...
-
Qui dit printemps dit: Fonte des neiges, cabane a sucre, soleil, ciel très bleu, chants des oiseaux, écoulement des eaux de la fonte ...
-
Il en avait assez le ciel de tout ces nuages .... De ce temps de pluie, temps incertain. Alors une grande peine l'a envahi et il a t...