Voila
J'ai commandé 4 hémérocalles que voici!
Gentel sheperd
Ben Arthur Davis
Joan Senior
So precious
et voila j'attends maintenant le jour ''J''.
mercredi 16 juillet 2008
Une vieille dame égarée
Ce matin je décide d'aller en ville pour y faire mes commissions et avant passer a la caisse pop.
Dans le milieu de la rue ( route finalement très passante) j'y vois accroupie une très vieille dame, la culotte aux chevilles et la jaquette remontée, elle y faisait ... son pipi matinal!
Juste ciel !
Je m'arrête en catastrophe, demander a cette dame ce qui se passe, mais je me rends bien compte qu'elle est confuse, mais d'humeur quand même joyeuse!
Toute souriante elle me dit qu'elle va nourrir ses poulets avant de rentrer faire sa toilette.
Je n'ose la contredire et mine de rien je parviens a la dévier du plein centre de la route pour l'emmener plus en bordure du chemin. Le problème est de savoir qui est elle, d'où vient elle et
!!!
Ou va-t'elle comme ça de si bon matin!
Ça me semble évident que la mémé a pris la clé des champs !
Comme mon auto est encore en marche a moitié mal garée, les clés sur le contact la bourse sur le siège avant et le dépôt a peine dissimulé, je me demande si mémé va enfin se décider a me dire ou elle réside!
Elle me parle facilement de tout ce qui est ''vieux '' comme souvenirs, son mari, et aussi ce qui me semble être un de ces fils, une fille qu'elle adore et une autre ''la bêtasse'' comme elle la surnomme....
Elle me parle de son potager, de ces poulets....Mais le reste, le néant total!
Je la prend par les épaules et veut me diriger vers la première maison, mais je me rend compte qu'elle ne marche plus, et lorsque je jette un œil vers elle, ses petites culottes dont l'élastique doit dater du siècle dernier a rendu l'âme. Donc elles sont descendues aux chevilles et j'ai beau remonter le tout en essayer fort de garder mon sérieux, rien a faire ça redescend tout aussi vite et mémé qui refuse de coopérer nous sommes encore sur la route moi tenant la jaquette fleurie et les culottes autour des chevilles nous y allons de petits pas vers mon auto un phare dans toute cette histoire!
J'y fait monter la dame non sans peine et me dirige vers une maison ou je sais qu'ils y ont déjà gardé des personnes âgées.
Je sonne et frappe mais personne ne veut m'ouvrir, une femme me crie que la livraison faut passer par la porte arrière.
Donc je hurle aussi fort que je peux: J'ai une vieille dame perdue je vous la livre par le porte arrière?
Du coup la femme a entre ouvert la porte m,a tout simplement dit : Connais pas .....
Et vlan porte refermée!
bonté de cœur, ça se voit tout de suite!
Je ne sais plus que faire de mémé moi...
On roule doucement en parlant de ses poulets, son potager et tout a coup elle me dit en nommant le nom de ce qui me semble être son fils, regarde qu'elle me dit, il a encore pas désherbé le potager!!!!
Elle semble choquée mais triste a la fois, mon cœur se serre aussi pour cette pauvre dame.
Puis je me souviens il y a quelques années encore une dame qui travaillait dans le plus beau des jardins, un peu comme un jardin de curé.
Je ralenti un peu et me stationne dans l,entrée pour arriver nez a nez avec un homme et sa femme tout les deux en panique, qui cherchent mémé si tôt ce matin !
Je klaxonne et fait signe qu'il s'approche doucement pour ne pas effrayer la vieille dame, qui soit dit en passant n'a toujours pas remonté la culotte.
Le monsieur est tout heureux de vois sa maman adoré dans mon auto, lui qui la cherche depuis plus d'une heure et qui a appelé la police !
Moi je descend de l'auto et va ouvrir la portière en tenant le bras de la dame d'une main et la culotte de l'autre, nous passons devant les poulets sans les voir vraiment que dans des souvenirs confus d'une autre vie, dont elle a gardé que ce qui la rendait joyeuse, elle marche tête haute la jaquette sous le bras, moi tel une fille d'honneur je tiens la culotte et nous allons bien tendrement, tout doucement vers sa maison!
Son fils et sa femme, au bout du rouleau, les nerfs en boule de vivre trop souvent probablement les absences de l'aïeul.
Dans le milieu de la rue ( route finalement très passante) j'y vois accroupie une très vieille dame, la culotte aux chevilles et la jaquette remontée, elle y faisait ... son pipi matinal!
Juste ciel !
Je m'arrête en catastrophe, demander a cette dame ce qui se passe, mais je me rends bien compte qu'elle est confuse, mais d'humeur quand même joyeuse!
Toute souriante elle me dit qu'elle va nourrir ses poulets avant de rentrer faire sa toilette.
Je n'ose la contredire et mine de rien je parviens a la dévier du plein centre de la route pour l'emmener plus en bordure du chemin. Le problème est de savoir qui est elle, d'où vient elle et
!!!
Ou va-t'elle comme ça de si bon matin!
Ça me semble évident que la mémé a pris la clé des champs !
Comme mon auto est encore en marche a moitié mal garée, les clés sur le contact la bourse sur le siège avant et le dépôt a peine dissimulé, je me demande si mémé va enfin se décider a me dire ou elle réside!
Elle me parle facilement de tout ce qui est ''vieux '' comme souvenirs, son mari, et aussi ce qui me semble être un de ces fils, une fille qu'elle adore et une autre ''la bêtasse'' comme elle la surnomme....
Elle me parle de son potager, de ces poulets....Mais le reste, le néant total!
Je la prend par les épaules et veut me diriger vers la première maison, mais je me rend compte qu'elle ne marche plus, et lorsque je jette un œil vers elle, ses petites culottes dont l'élastique doit dater du siècle dernier a rendu l'âme. Donc elles sont descendues aux chevilles et j'ai beau remonter le tout en essayer fort de garder mon sérieux, rien a faire ça redescend tout aussi vite et mémé qui refuse de coopérer nous sommes encore sur la route moi tenant la jaquette fleurie et les culottes autour des chevilles nous y allons de petits pas vers mon auto un phare dans toute cette histoire!
J'y fait monter la dame non sans peine et me dirige vers une maison ou je sais qu'ils y ont déjà gardé des personnes âgées.
Je sonne et frappe mais personne ne veut m'ouvrir, une femme me crie que la livraison faut passer par la porte arrière.
Donc je hurle aussi fort que je peux: J'ai une vieille dame perdue je vous la livre par le porte arrière?
Du coup la femme a entre ouvert la porte m,a tout simplement dit : Connais pas .....
Et vlan porte refermée!
bonté de cœur, ça se voit tout de suite!
Je ne sais plus que faire de mémé moi...
On roule doucement en parlant de ses poulets, son potager et tout a coup elle me dit en nommant le nom de ce qui me semble être son fils, regarde qu'elle me dit, il a encore pas désherbé le potager!!!!
Elle semble choquée mais triste a la fois, mon cœur se serre aussi pour cette pauvre dame.
Puis je me souviens il y a quelques années encore une dame qui travaillait dans le plus beau des jardins, un peu comme un jardin de curé.
Je ralenti un peu et me stationne dans l,entrée pour arriver nez a nez avec un homme et sa femme tout les deux en panique, qui cherchent mémé si tôt ce matin !
Je klaxonne et fait signe qu'il s'approche doucement pour ne pas effrayer la vieille dame, qui soit dit en passant n'a toujours pas remonté la culotte.
Le monsieur est tout heureux de vois sa maman adoré dans mon auto, lui qui la cherche depuis plus d'une heure et qui a appelé la police !
Moi je descend de l'auto et va ouvrir la portière en tenant le bras de la dame d'une main et la culotte de l'autre, nous passons devant les poulets sans les voir vraiment que dans des souvenirs confus d'une autre vie, dont elle a gardé que ce qui la rendait joyeuse, elle marche tête haute la jaquette sous le bras, moi tel une fille d'honneur je tiens la culotte et nous allons bien tendrement, tout doucement vers sa maison!
Son fils et sa femme, au bout du rouleau, les nerfs en boule de vivre trop souvent probablement les absences de l'aïeul.
mardi 15 juillet 2008
Miss ne regarde pas derriere...
Mais quand même fais gaffe, car le gros noir il te suit !
J'ai décidé ce midi de ne pas diner et de profiter du fait qu'il ne pleut pas pour aller faire joujou au fleuve...
J'ai laissé le parasol tout grand ouvert, le linge sur la corde, les coussins sur les chaises, celui de la balançoire
sorti, mon livre, le téléphone et autres bidules estival prêts pour mon retour ....
Et une fois rendu quand même loin sur le littoral, presque a la limite des hautes eaux.... le gros noir mine de rien, s,est laissé aller....
Il s,est vidé de son eau sur la Miss et ses chiens.....
Un mur de pluie froide et mordante.
Un mur blanc, un shower comme on dit dans le jargon!
On n'y voit rien, absolument rien, c'est comme un rideau, blanc, cinglant, qui tombe en pinçant la peau et trouble la vue.
Le ciel couleur de plomb escorté de son armée de gros nuages menaçants tortueux comme les racines d,un vieil arbre, qui s'amuse a éparpiller son souffle glacial et cruel, blessant au passage les rayons timide d'un soleil anémique.
La furie passagère s,amuse a déplacer, secouer et mordre tout sur son passage, vêtements emmêlés, chaises et parasols, sortis pour la journée, signes d'espérance, droit en un renouveau météorologique..
Quand même chanceuse que la foudre n,ai pas été invitée a ce rendez-vous de colère!
Une fois la rage passée ainsi que le plaisir volé d'un midi sans repas, sans soleil, sans chaleur, sans balade et découvertes fabuleuses. La Miss est revenue souriante et mouillée.
Mouillée? Non trempée, ça oui et les chiens aussi, de toute façon on était déjà mouillés, a la recherche de l'été, le temps que les minutes s'écoulent lentement, suffisamment lentement pour avoir le plaisir de le savourer et d'en garder pour une autre fois.
Mais vaincue elle est revenue, glacée, transie comme si tout au fond de sa peur elle avait rencontré une âme oubliée, un souffle froid qui glace le dos, un lieu maudit, une saison hantée, un souffle froid qui rappelle trop bien que l'été nous a oublié il me semble.
Et elle ira mettre ses chaussons de laine, serrés quelque part....
Car généralement en juillet on ne porte pas le chausson tout chaud!
J'ai décidé ce midi de ne pas diner et de profiter du fait qu'il ne pleut pas pour aller faire joujou au fleuve...
J'ai laissé le parasol tout grand ouvert, le linge sur la corde, les coussins sur les chaises, celui de la balançoire
sorti, mon livre, le téléphone et autres bidules estival prêts pour mon retour ....
Et une fois rendu quand même loin sur le littoral, presque a la limite des hautes eaux.... le gros noir mine de rien, s,est laissé aller....
Il s,est vidé de son eau sur la Miss et ses chiens.....
Un mur de pluie froide et mordante.
Un mur blanc, un shower comme on dit dans le jargon!
On n'y voit rien, absolument rien, c'est comme un rideau, blanc, cinglant, qui tombe en pinçant la peau et trouble la vue.
Le ciel couleur de plomb escorté de son armée de gros nuages menaçants tortueux comme les racines d,un vieil arbre, qui s'amuse a éparpiller son souffle glacial et cruel, blessant au passage les rayons timide d'un soleil anémique.
La furie passagère s,amuse a déplacer, secouer et mordre tout sur son passage, vêtements emmêlés, chaises et parasols, sortis pour la journée, signes d'espérance, droit en un renouveau météorologique..
Quand même chanceuse que la foudre n,ai pas été invitée a ce rendez-vous de colère!
Une fois la rage passée ainsi que le plaisir volé d'un midi sans repas, sans soleil, sans chaleur, sans balade et découvertes fabuleuses. La Miss est revenue souriante et mouillée.
Mouillée? Non trempée, ça oui et les chiens aussi, de toute façon on était déjà mouillés, a la recherche de l'été, le temps que les minutes s'écoulent lentement, suffisamment lentement pour avoir le plaisir de le savourer et d'en garder pour une autre fois.
Mais vaincue elle est revenue, glacée, transie comme si tout au fond de sa peur elle avait rencontré une âme oubliée, un souffle froid qui glace le dos, un lieu maudit, une saison hantée, un souffle froid qui rappelle trop bien que l'été nous a oublié il me semble.
Et elle ira mettre ses chaussons de laine, serrés quelque part....
Car généralement en juillet on ne porte pas le chausson tout chaud!
dimanche 13 juillet 2008
Je vous présente
en cette journée de pluie ce blog a découvrir.
Le blog du bedon rond.....
Et ça vaut vraiment le détour!
Alors a vos fourneaux, sortez vos calepins pour tout bien noter et revenez souvent voir Jnet
LA grand-maman a la retraite !
Le blog du bedon rond.....
Et ça vaut vraiment le détour!
Alors a vos fourneaux, sortez vos calepins pour tout bien noter et revenez souvent voir Jnet
LA grand-maman a la retraite !
miam aux fraises
Vraiment rien de compliqué, faites une préparation de gélatine ajoutez y des fraises et un peu de sucre, pas trop quand même.
Puis on met le tout sur un gâteau éponge.
On fait ramollir du chocolat ( noir ou au lait c'est une question de gout ) au quel on ajoute soit du lait ou un peu de crème, pour aider a liquéfier que l'on met en filet sur les fraises et au moment de servir un peu de chantilly....
Juste un peu pour le plaisir de la langue.....
Voici quelque photos de mes pélargonium, faussement appelés géranium.
J'en ai malheureusement perdus beaucoup cet hiver lorsque je les ai mis au repos a la cave.
Et je n'ai pas renouvelé pour mes corbeilles.
Mais l,an prochain je le ferai, je ne peux pas m,en passer, c'est une plante qui demande peu et garni bien !
Un épis de millet rouge, c,est la premiere année que je réussi a le voir fleurir, pourtant ce n,est pas un coefficient élevé de difficulté!
ha ha ha !
Et enfin pour terminer le détail d'une feuille d'abutillon panaché.
J'attends la floraison.
Delphinum bleu
Delphinium ou pied d'alouette
floraison de juin a octobre, plein soleil.
Couleurs: bleu, rose, violet et blanc.
Type de sol: fertile, profond et frais.
Hauteur : 1,80 mètre, utilisé en massif.
Espèces, variétés intéressantes :
Le genre comprend plus de 250 espèces - Delphinium 'Blue bird' de couleur bleu
- Delphinium 'Astolat' aux fleurs roses et au centre noir, fleurs étalées sur la tige
- Delphinium 'Galahad' aux fleurs blanches
Maladies et insectes nuisibles : l'oïdium, la bactériose, la fusariose, la pourriture du collet, les limaces
Je les ai placées devant le cabanon, elles donnent une touche de légèreté a la bâtisse.
Sur fond blanc le bleu donne effet de calme et a un effet rafraichissant.
Il en est a son tout début de la floraison.
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